Chaque enjeu décrit précédemment se base sur des compétences spécifiques, de l’expertise et la mise en œuvre de moyens de mesures ou de simulation dédiés.
Ainsi, en l’absence de référentiel normatif à ce jour, la définition des critères du projet s’effectue sur un retour d’expérience et un usage communément admis par l’ensemble des acteurs de ce type de projet.
La détermination des sites « sensibles » doit se faire de manière exhaustive pour n’éluder aucun risque de gêne sur le projet, mais de manière à rendre la réalisation des études d’impacts compatible avec les plannings projet. Une méthodologie de sélection basée sur un découpage en « tronçons homogènes » où des bâtiments représentatifs seront étudiés en parallèle des sites les plus sensibles est souvent mise en œuvre.
Les études d’impacts associent souvent des phases d’essais à des phases de simulations.
Les essais et modélisations sont à réaliser au juste nécessaire en fonction du contexte de chaque projet.
Des modélisations dites « 2,5D » ou « 3D » (cf. illustrations ci-dessous) seront notamment effectuées.
Une fois les études d’impacts réalisées, il convient de spécifier les mesures et autres éléments constructifs à mettre en œuvre pour assurer les objectifs du projet.
Cela passe notamment par la définition détaillée des éléments qui vont caractériser l’atténuation vibratoire et le type de poses nécessaires aux objectifs du projet.
La phase finale de validation de la bonne tenue des objectifs conclura le projet.